A l’heure du déconfinement, le vélo trouve un regain d’attractivité : il permet de maintenir la distance physique tout en restant un moyen de transports peu couteux et écologique. De Bruxelles à Bogota en passant par Paris, les actions des pouvoirs publics encouragent à favoriser les déplacement vélo.
Le déconfinement sonnera-t-il l’heure de la « vélorution » ?
Le vélo présente plusieurs avantages en matière de déplacement dans les zones denses et semble être un moyen de transports particulièrement hygiénique, adapté à la situation actuelle. Dans le réaménagement des espaces publics, le vélo a vite été perçu comme un atout pour de nombreuses villes. En Colombie, la ville de Bogota a, dès la mi-mars, fermées les voies réservées aux voitures pour dédier 22 kilomètres de route au vélo. Ainsi, les cyclistes peuvent maintenir la distanciation physique et se déplacer en sécurité.
Rapidement, d’autres capitales lui emboitent le pas et réservent des routes habituellement dédiées aux voitures pour les piétons ou les cyclistes. Paris, Bruxelles, Berlin, Mexico, New York, Calgary : les exemples sont nombreux. Les « corona bike lanes » rencontrent un vif succès !
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Interview vidéo - Le Parisien
Avec l’ouverture progressive qui s’amorce dans de nombreux pays, il est fort à parier que le vélo trouve un nouvel engouement dans la population. Il est le moyen idéal pour se déplacer individuellement et efficacement sur des distances autour de 10 km. Très maniable, il peut se combiner très facilement à la voiture ou au train, ce qui en fait un moyen de transport pertinent pour la majorité des pendulaires.
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